Et dire que j’ai failli bouder ce disque sous prétexte que j’avais l’impression d’avoir déjà tout entendu avec les deux premiers. J'avais laissé passer le troisième mais pas celui-ci. Cela ne veut pas dire que je n’aime pas la musique de Syd Matters bien au contraire. J’étais tombé sous le charme de sa première production pourtant pas totalement aboutie. C’est en lisant la chronique de mon amie de Words and Sounds que j’ai compris qu’il fallait que j’accorde du temps à Brotherocean. Et je la remercie de m’avoir remis sur le bon chemin. Comme quoi à vouloir trop s'éparpiller on en oublie l'essentiel !
Le quatrième album de Syd Matters est un disque de saison, et plus précisément de celle que nous vivons actuellement, l’automne. En effet quand j’écoute "Wolfmother 1" j’ai l’impression d’être à la fenêtre et de regarder la pluie tomber, une sensation de nostalgie tout en étant protégé. Mais attention il n’est pas question de vous faire sortir les mouchoirs. Effectivement la musique de Syd Matters est empreinte d’une grande mélancolie, la marque de fabrique des grands songwritter mais cela ne l’empêche pas de saluer la vie comme sur le single "Hi Life". Ce n’est même plus un single, c’est une évidence, un refrain qui revient sans cesse à l’esprit tellement on a l’impression de l’avoir toujours entendu. Si je vous dis ça c’est pour vous faire réaliser que nous avons affaire à un grand artiste en la personne de Jonathan Morali (alias Syd Matters) et pour une fois il est français alors je dis cocorico ! Si j’ose avancer cela c’est parce qu’il a su tirer profit de ses influences, Radiohead en premier plan. Je ne pense pas trop m’avancer en disant cela car c’est l’impression que j’ai à l’écoute de "We are Invisible" ou "Rest". Mais je ne veux pas utiliser cette chronique pour faire des comparaisons car il y a bien une touche Syd Matters, un son, un style, un rythme. A mes yeux, ce qui fait le talent d’un artiste c’est de pouvoir être reconnu en quelques notes, ne ressembler à personne d’autres et Syd Matters en fait partie. Cela s’appelle l’originalité et c’est synonyme de talent.
Abusez de ce disque car c’est celui d’un grand artiste français !
Extrait : Hi Life
Le quatrième album de Syd Matters est un disque de saison, et plus précisément de celle que nous vivons actuellement, l’automne. En effet quand j’écoute "Wolfmother 1" j’ai l’impression d’être à la fenêtre et de regarder la pluie tomber, une sensation de nostalgie tout en étant protégé. Mais attention il n’est pas question de vous faire sortir les mouchoirs. Effectivement la musique de Syd Matters est empreinte d’une grande mélancolie, la marque de fabrique des grands songwritter mais cela ne l’empêche pas de saluer la vie comme sur le single "Hi Life". Ce n’est même plus un single, c’est une évidence, un refrain qui revient sans cesse à l’esprit tellement on a l’impression de l’avoir toujours entendu. Si je vous dis ça c’est pour vous faire réaliser que nous avons affaire à un grand artiste en la personne de Jonathan Morali (alias Syd Matters) et pour une fois il est français alors je dis cocorico ! Si j’ose avancer cela c’est parce qu’il a su tirer profit de ses influences, Radiohead en premier plan. Je ne pense pas trop m’avancer en disant cela car c’est l’impression que j’ai à l’écoute de "We are Invisible" ou "Rest". Mais je ne veux pas utiliser cette chronique pour faire des comparaisons car il y a bien une touche Syd Matters, un son, un style, un rythme. A mes yeux, ce qui fait le talent d’un artiste c’est de pouvoir être reconnu en quelques notes, ne ressembler à personne d’autres et Syd Matters en fait partie. Cela s’appelle l’originalité et c’est synonyme de talent.
Abusez de ce disque car c’est celui d’un grand artiste français !
Extrait : Hi Life
Et bien merci à toi qui me donne finalement envie d'aller écouter ce nouvel album de Syd Matters :)
RépondreSupprimerJe suis ravi si j'ai pu te donner envie d'écouter le dernier Syd Matters ! C'est un peu l'objectif de mon blog, donner envie ! Merci Mme (je crois ?) de Sons et Lumières !
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