Je n’ai pas pu échappé au dernier album d’Arcade Fire. Cela ne veut pas dire que jusqu’à présent j’ai fuis les deux autres albums des canadiens, c’est juste que je n’ai pas eu l’occasion de les écouter. Cela peut paraître étonnant aux yeux de tout mélomane habitué à écouter du rock indépendant mais c’est bien vrai. En fait au même moment je papillonnais d’artistes en artistes et de disques en disques préférant découvrir d’autres productions qui avaient encore tout à prouver. A force d’entendre parler de la sortie de The Suburbs et de lire des critiques, je me suis enfin laissé tenter.
C’est un disque qui se laisse écouter cela va sans dire. On a quand même affaire à l’une des références actuelles de l’indie mais ma phrase précédente résume bien l’effet qu’a produit leur musique sur ma petite personne. Il n’y pas eu l’étincelle, celle qui allume le feu en moi et qui rend un disque brûlant pour mes oreilles. Ma première impression est que cet album est trop long, seize titres qui ne sont pas toujours justifiés. Je pense notamment à la deuxième partie du morceau intitulé « Sprawl » qui n’est pas cohérente avec le reste de l’album. En revanche les arrangements sont superbes, les transitions entre les morceaux de grande qualité, le quota de single présent (« The Suburbs », « Ready To Start », « Suburban War », « We Used To Wait »). Pour ce qui est du style, les canadiens font vraiment dans la figure libre, enchaînant pop classieuse, glam rock des années 2000, rockabilly hippie, rock baroque, ou devrais-je dire rococo et new wave à la Blondie.
Pour conclure je dirais que ce disque semble sortir de l’indépendance car niveau son on est plus proche d’une grosse pointure pop que d’une fanfare hippie. Je ne serais d’ailleurs pas étonné de voir dans les prochaines années les productions d’Arcade Fire classées pas très loin de David Bowie dans les bacs des disquaires ce qui ne déplaira pas à Win Butler !
Extrait : "Ready To Start"
C’est un disque qui se laisse écouter cela va sans dire. On a quand même affaire à l’une des références actuelles de l’indie mais ma phrase précédente résume bien l’effet qu’a produit leur musique sur ma petite personne. Il n’y pas eu l’étincelle, celle qui allume le feu en moi et qui rend un disque brûlant pour mes oreilles. Ma première impression est que cet album est trop long, seize titres qui ne sont pas toujours justifiés. Je pense notamment à la deuxième partie du morceau intitulé « Sprawl » qui n’est pas cohérente avec le reste de l’album. En revanche les arrangements sont superbes, les transitions entre les morceaux de grande qualité, le quota de single présent (« The Suburbs », « Ready To Start », « Suburban War », « We Used To Wait »). Pour ce qui est du style, les canadiens font vraiment dans la figure libre, enchaînant pop classieuse, glam rock des années 2000, rockabilly hippie, rock baroque, ou devrais-je dire rococo et new wave à la Blondie.
Pour conclure je dirais que ce disque semble sortir de l’indépendance car niveau son on est plus proche d’une grosse pointure pop que d’une fanfare hippie. Je ne serais d’ailleurs pas étonné de voir dans les prochaines années les productions d’Arcade Fire classées pas très loin de David Bowie dans les bacs des disquaires ce qui ne déplaira pas à Win Butler !
Extrait : "Ready To Start"
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