L’année 2010 aura été une année riche pour The Tallest Man On Earth. Riche en qualité puisque son deuxième album a été plébiscité par les critiques et riche en quantité puisqu’il a aussi sorti cet EP intitulé Sometimes the Blues Is Just a Passing Bird. Cinq chansons qui viennent compléter son disque The Wild Hunt comme pour boucler l’histoire qu’il avait commencée en ce début d’année.
Cette histoire c’était celle d’un cowboy, dans la plus pure tradition américaine, vivant au rythme de son cheval. C’est cela qu’évoquait son disque. Dans cet EP, on a l’impression que Kristian Matsson nous raconte ses soirées auprès du feu à regarder les étoiles. Le rythme de ses cinq mélodies est beaucoup moins soutenu. La musique est posée et la guitare a troqué ses accords contre des arpèges. Mais c’est toujours aussi folk, ça respire toujours l’Amérique, celle des western, celle des grands espaces, de l’homme et de la nature.
Kristian est suédois mais il n’empêche qu’il est imprégné de la culture américaine et il sait divinement nous la chanter.
Extrait : The Dreamer
Cette histoire c’était celle d’un cowboy, dans la plus pure tradition américaine, vivant au rythme de son cheval. C’est cela qu’évoquait son disque. Dans cet EP, on a l’impression que Kristian Matsson nous raconte ses soirées auprès du feu à regarder les étoiles. Le rythme de ses cinq mélodies est beaucoup moins soutenu. La musique est posée et la guitare a troqué ses accords contre des arpèges. Mais c’est toujours aussi folk, ça respire toujours l’Amérique, celle des western, celle des grands espaces, de l’homme et de la nature.
Kristian est suédois mais il n’empêche qu’il est imprégné de la culture américaine et il sait divinement nous la chanter.
Extrait : The Dreamer
Je sens qu'Amazon va encore frapper à ma porte
RépondreSupprimerCalme toi clemiclem ! ;-)
RépondreSupprimerTrop tard...
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