Quelque part dans une ville qui semble abandonnée, il y a un jeune homme seul dans un appartement. Alors que même les corbeaux ont décidé de fuir, il résiste avec pour seul objectif de faire de la musique. Une musique entre folk, pop et post rock, celle-là même qu’il écoutait et qui l’inspirait il y a quelques temps. Celles de ses ainés, Sufjan Stevens, Radiohead ou bien Deerhunter qu’il cite comme principal influence. Et bien il est temps d’ouvrir les fenêtres de cet appartement et de faire entendre les mélodies de ce jeune homme qui se cache derrière le patronyme de Third Mirror car sa musique ne manque pas de personnalité.C’est assez surprenant comme les six premières chansons de son petit répertoire témoignent déjà d’un univers dans lequel on s’immisce avec beaucoup de facilité. Il y est question de mélancolie bien sûr, difficile de faire autrement avec des influences pareilles. Sur des riffs de guitares très riches alternant arpèges, accords noise et solo gilmourien (« Red Feather »), sa voix évoque à la fois les envolées d’un Morissey et la retenue d’un Syd Matters. L’artwork de la première démo de Third Mirror rappelle d’ailleurs la première production du parisien. Je souhaite au bordelais le même destin que ce dernier !
mardi 26 avril 2011
Ecouté et approuvé : Third Mirror
Quelque part dans une ville qui semble abandonnée, il y a un jeune homme seul dans un appartement. Alors que même les corbeaux ont décidé de fuir, il résiste avec pour seul objectif de faire de la musique. Une musique entre folk, pop et post rock, celle-là même qu’il écoutait et qui l’inspirait il y a quelques temps. Celles de ses ainés, Sufjan Stevens, Radiohead ou bien Deerhunter qu’il cite comme principal influence. Et bien il est temps d’ouvrir les fenêtres de cet appartement et de faire entendre les mélodies de ce jeune homme qui se cache derrière le patronyme de Third Mirror car sa musique ne manque pas de personnalité.C’est assez surprenant comme les six premières chansons de son petit répertoire témoignent déjà d’un univers dans lequel on s’immisce avec beaucoup de facilité. Il y est question de mélancolie bien sûr, difficile de faire autrement avec des influences pareilles. Sur des riffs de guitares très riches alternant arpèges, accords noise et solo gilmourien (« Red Feather »), sa voix évoque à la fois les envolées d’un Morissey et la retenue d’un Syd Matters. L’artwork de la première démo de Third Mirror rappelle d’ailleurs la première production du parisien. Je souhaite au bordelais le même destin que ce dernier !
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