lundi 30 janvier 2012

Disque : David Abel - Beyond the Black Sea (2012)


Cette année je veux que ce soit l’année du voyage, à commencer par le voyage musical. David Abel est le premier artiste à m’offrir une belle espacade. 

Il sait de quoi il parle le néo-zélandais expatrié en France. Il a du en voir du pays avant d’atterrir dans notre capitale et ça se ressent dans sa musique. David Abel nous transporte dans son sac à dos à poches multiples dans lequel on retrouve une guitare, un banjo, un violon et des mélodies folk sensibles et joyeuses qui semblent parler à toutes les nationalités. Le néo parisien me fait penser à un ménestrel des temps modernes qui prend la route pour chanter sa poésie. Il est à la fois Andrew Bird ("Madame Ray") ou The Tallest Man On Earth ("Won't Come Looking For Me"), violon pincé ou arpège de guitare claqué. Une guitare profonde qui résonne souvent comme un écho intérieur. David transforme la ville en vaste campagne, Paris entourée de montagne et au milieu coule un fleuve sur lequel on se laisse porter comme sur ses mélodies acoustiques. 

Comme je vous le disais plus haut vous allez voyager à l'écoute de ce premier album. Vous n’aurez jamais l’impression d’être là où vous vous trouvez. Dépaysement garanti.

Extrait : Madame Ray






Un packaging soigné...

...qui fait penser à un baluchon

4 commentaires:

  1. Je peux pas écouter les extraits sur notre nouveau jouet.. C'est bien la peine d'avoir des jouets qui coûtent un bras ! Bises!

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  2. Ah oui c'est le problème de ce jouet. La pomme n'est pas trop copine avec tout ce qui est en flash !! :-)

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  3. Ah, c'est vachement bien David Abel ! Heureux de voir que toi aussi tu aimes ce chanteur :)

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