Mercredi soir, ce n’était pas le printemps à la Rock School Barbey mais plutôt l’été. Noah & the Whale était invité en formule club. Pour ceux qui ne connaissent pas ce type de concert, les groupes jouent dans l’entrée à coté du bar et non pas dans la salle même. Espace réduit donc, pour un public réduit et partageant leurs effluves, rock’n’roll quoi !
Après une première partie assurée par Richard Jones, un songwriter local aux accents anglais, dont la prestation m’a paru durer une éternité malgré tout le respect que je dois à cet artiste mais dont le style plaintif a du mal à se prêter à la session live, c’est au tour de Noah & The Whale.
Je découvre dans un premier temps le visage des cinq membres : le chanteur-leader, au visage d’enfant touffu et ébouriffé dans un corps maigrelet, est accompagné d’un bassiste et d’un guitariste tout droit sortis des Beach Boys époque 15 big ones, d’un violoniste débauché d’un groupe New Wave et qui a conservé sa mèche comme témoignage de cette douloureuse expérience et enfin d’un batteur dont le visage ne m’est apparu que lors du rappel. Tout ce qu’il y a de plus hétéroclite.
Du point de vue de la prestation, je ne suis pas déçu mais mitigé. J’ai trouvé qu’il n’y avait pas de cohérence dans le set qui alignait des chansons extraites de leurs deux albums. En effet, je trouve que leur dernier opus, The First Days Of Spring, est très mature et contraste avec l’aspect festif de leur première production Peaceful, The World Lays Me Down. Et puis l’enchaînement des morceaux fut assez expéditif sans parler de quelques problèmes techniques. Je pense que le bassiste qui s’évertuait à faire les chœurs doit regretter de ne pas avoir eu son micro branché. Mais cela n’enlève rien aux belles mélodies que joue ce quintette et qu’ils ont réussi à bien restituer en concert. En prime, une exclu jouée en rappel.
Après une première partie assurée par Richard Jones, un songwriter local aux accents anglais, dont la prestation m’a paru durer une éternité malgré tout le respect que je dois à cet artiste mais dont le style plaintif a du mal à se prêter à la session live, c’est au tour de Noah & The Whale.
Je découvre dans un premier temps le visage des cinq membres : le chanteur-leader, au visage d’enfant touffu et ébouriffé dans un corps maigrelet, est accompagné d’un bassiste et d’un guitariste tout droit sortis des Beach Boys époque 15 big ones, d’un violoniste débauché d’un groupe New Wave et qui a conservé sa mèche comme témoignage de cette douloureuse expérience et enfin d’un batteur dont le visage ne m’est apparu que lors du rappel. Tout ce qu’il y a de plus hétéroclite.
Du point de vue de la prestation, je ne suis pas déçu mais mitigé. J’ai trouvé qu’il n’y avait pas de cohérence dans le set qui alignait des chansons extraites de leurs deux albums. En effet, je trouve que leur dernier opus, The First Days Of Spring, est très mature et contraste avec l’aspect festif de leur première production Peaceful, The World Lays Me Down. Et puis l’enchaînement des morceaux fut assez expéditif sans parler de quelques problèmes techniques. Je pense que le bassiste qui s’évertuait à faire les chœurs doit regretter de ne pas avoir eu son micro branché. Mais cela n’enlève rien aux belles mélodies que joue ce quintette et qu’ils ont réussi à bien restituer en concert. En prime, une exclu jouée en rappel.
Au moins on n'a pas attendu 1h30 cette fois :) mais on a eu très chaud !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta façon de rester "clean" dans la description de la prestation de notre ami Richard Jones. J'aurais pour ma part plutôt insisté sur le côté "vieille chatte en chaleur".
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