Depuis que j’écris sur ce blog j’ai crié une fois au génie et c’était pour parler de Frank Zappa. Et bien cette fois-ci je ne vais pas crier, je vais hurler : SUFJAN STEVENS EST UN GENIE ! « Et pourquoi ? » me direz-vous et je vous répondrai « parce que c’est comme ça ! ». Non plus sérieusement voici mes éléments de réponse : cet artiste est prolifique, doué, talentueux, il sait se renouveler, ses mélodies sont superbes, sensibles, ses textes sont beaux et touchants, je continue ou c’est bon ? Il me semble qu’il y a déjà pas mal de raisons d’écouter la musique de cet originaire du Michigan. Je vais être honnête avec vous, je n’ai pas tout écouté mais le peu que j’ai écouté m’a convaincu. En effet, je suis entré dans l’univers de Sufjan au moment où il entamait son projet un album – un état américain. J’ai découvert le plus poète des songwriter du 21ème siècle et j’ai été touché.
The Age Of Adz est son dixième album. Ce n’est donc plus un jeune premier et pourtant il me surprend comme la première production d’un jeune groupe fougueux. Ça commence doucement avec une mélodie tendre comme un bonbon avec riff de guitare accrocheur et piano léger « Futile Devices » et puis ça s’enchaîne sur ses expériences electro, qui n’ont rien d’expériences d’ailleurs tellement c’est précis et subtile. Je suis conquis comme à l’époque où Radiohead a basculé dans les sonorités synthétiques. Le titre « I Walked », sorte de soul electro pop, est terriblement entêtant. J’emploie cette formule barbare pour définir la musique de Sufjan car elle est difficile à décrire. J’ai l’impression qu’il se place en marge, il est un style, un genre à part entière. Et parlons de « Vesuvius », oui parlons en de ce titre qui tourne en boucle depuis des jours sur mon lecteur. Tous les sons de cette chanson sont minutieusement placés pour vous faire fondre comme neige au soleil. Tout est beau et puis c’est tout. Sufjan a le don de magnifier de simples accords de piano, orchestrer les instruments à vent pour que l’on ait l’impression d’entendre les oiseaux chanter et enfin assembler les mots pour qu’ils vous racontent une histoire émouvante. C’est aussi le seul artiste actuel à pouvoir proposer un titre de 25 min « Impossible Soul » qui s’écoute du début jusqu’à la fin.
Si j’aime la musique de Sufjan Stevens ? Je préfère m’abstenir de répondre.
The Age Of Adz est son dixième album. Ce n’est donc plus un jeune premier et pourtant il me surprend comme la première production d’un jeune groupe fougueux. Ça commence doucement avec une mélodie tendre comme un bonbon avec riff de guitare accrocheur et piano léger « Futile Devices » et puis ça s’enchaîne sur ses expériences electro, qui n’ont rien d’expériences d’ailleurs tellement c’est précis et subtile. Je suis conquis comme à l’époque où Radiohead a basculé dans les sonorités synthétiques. Le titre « I Walked », sorte de soul electro pop, est terriblement entêtant. J’emploie cette formule barbare pour définir la musique de Sufjan car elle est difficile à décrire. J’ai l’impression qu’il se place en marge, il est un style, un genre à part entière. Et parlons de « Vesuvius », oui parlons en de ce titre qui tourne en boucle depuis des jours sur mon lecteur. Tous les sons de cette chanson sont minutieusement placés pour vous faire fondre comme neige au soleil. Tout est beau et puis c’est tout. Sufjan a le don de magnifier de simples accords de piano, orchestrer les instruments à vent pour que l’on ait l’impression d’entendre les oiseaux chanter et enfin assembler les mots pour qu’ils vous racontent une histoire émouvante. C’est aussi le seul artiste actuel à pouvoir proposer un titre de 25 min « Impossible Soul » qui s’écoute du début jusqu’à la fin.
Si j’aime la musique de Sufjan Stevens ? Je préfère m’abstenir de répondre.
Extrait :
Ca donne envie d'écouter
RépondreSupprimerMerci clemiclem. C'est le but de mes chroniques de donner envie alors quand c'est le cas, c'est cool ! :-)
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