Pour la première fois je tente une chronique à chaud : donner mes impressions à la première écoute et le jour de la sortie du disque. Je vous avertis, ce ne sera pas une chronique définitive, je ne trancherai pas avec une seule écoute donc tout peut encore arriver. Le dernier album de Radiohead était en pré vente depuis quelques temps sachant que la sortie numérique était prévue pour demain et a finalement été avancée à aujourd’hui. J’ai donc eu du nez de l’acheter ce jour même et été surpris lorsqu’ils m’ont proposé de le télécharger en suivant.
Parlons maintenant de ce qui nous intéresse : The King Of Limbs. A la lecture du titre j’étais méfiant et effrayé. La pochette ne me rassurait guère, cela dit Radiohead n’a jamais été très gai du coté esthétique.
Coté musique, jusqu’à la cinquième chanson je me suis dit que c’était un album supplémentaire dans la discographie et puis c'est tout. Il succède au médiocre In Rainbows qui m’avait déjà laissé un goût amer. Ces quatre premiers titres ressemblent à un magma de sonorités électroniques assemblées de manière brouillonne. Mon premier sentiment fut donc la déception, pensant que les anglais avaient fait le tour de leurs expériences musicales.
Mais l’album prend un tout autre tournant à partir du morceau intitulé "Lotus Flower". A partir de là, le groupe semble beaucoup plus inspiré avec des mélodies percutantes et surtout une cohérence. On retrouve les qualités mélodiques de leur pop. Pour ma part je suis déjà conquis par "Codex" et son piano mélancolique. C’est donc meilleur signe que le précédent album sur lequel je n’avais craqué pour aucun morceau. Mais je me laisse encore le temps de la réflexion avant d’apporter un jugement définitif, plusieurs écoutes. Disons qu’il y a des choses positives. A vous de juger maintenant !
Je ne partagerai pas d'extrait avec vous, je vous laisse le soin d'aller le télécharger si vous le souhaitez sur leur site.
Parlons maintenant de ce qui nous intéresse : The King Of Limbs. A la lecture du titre j’étais méfiant et effrayé. La pochette ne me rassurait guère, cela dit Radiohead n’a jamais été très gai du coté esthétique.
Coté musique, jusqu’à la cinquième chanson je me suis dit que c’était un album supplémentaire dans la discographie et puis c'est tout. Il succède au médiocre In Rainbows qui m’avait déjà laissé un goût amer. Ces quatre premiers titres ressemblent à un magma de sonorités électroniques assemblées de manière brouillonne. Mon premier sentiment fut donc la déception, pensant que les anglais avaient fait le tour de leurs expériences musicales.
Mais l’album prend un tout autre tournant à partir du morceau intitulé "Lotus Flower". A partir de là, le groupe semble beaucoup plus inspiré avec des mélodies percutantes et surtout une cohérence. On retrouve les qualités mélodiques de leur pop. Pour ma part je suis déjà conquis par "Codex" et son piano mélancolique. C’est donc meilleur signe que le précédent album sur lequel je n’avais craqué pour aucun morceau. Mais je me laisse encore le temps de la réflexion avant d’apporter un jugement définitif, plusieurs écoutes. Disons qu’il y a des choses positives. A vous de juger maintenant !
Je ne partagerai pas d'extrait avec vous, je vous laisse le soin d'aller le télécharger si vous le souhaitez sur leur site.
je découvre ton blog.. je suis complètement d'accord avec toi. Disque très moyen et groupe sur le déclin de mon point de vue. Sinon blog sympa, très agréable à l'oeil. Bonne continuation !
RépondreSupprimerMerci à toi Volfoni49 et reviens quand tu veux sur mon blog ! :-)
RépondreSupprimerEt est-ce que (comme d'habitude) on a envie de se suicider à la fin?
RépondreSupprimer... Désolée... J'ai pas pu m'empêcher... J'suis pas assez "fan" pour faire la différence entre un morceau de radiohead et un autre...
@ Laetizia
RépondreSupprimer:-) Non je te rassure, ce n'est toujours pas gai. Tu n'as qu'à voir le titre ! :-)
Le titre ET la pochette !! Évocateur tout ça !!
RépondreSupprimerTu es en photo sur un blog... c'est celui de la soeur de Julie?
Oui c'est moi et c'est le blog de la soeur de Julie.
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